XXXVIIe Congrès de la médecine du sport à Rome
Celui-ci a commencé par prendre un train, pour Valter (mon mari, médecin du sport) et moi
Une ligne qui a pour terminus Naples et passe par Bologne et Florence donne envie de s’arrêter à chaque arrêt.
À Rome, l'air chaud a envahi l'immense ville et nous avons suivi son rythme jusqu'à sa banlieue
Le Congrès commençait le lendemain, nous avons préféré la visiter plutôt que de participer aux présentations officielles
La 37e édition résume à ce nombre la longue et passionnante Histoire de la médecine du sport en Italie et de ceux qui l'ont faite
Et la prise de parole de ces vétérans étaient à la fois émouvante et pleine d'humour
J'ai retenu que la médecine du sport avant d'être une spécialité, et avant tout une médecine de la santé et de l'humain, qui cherche à aider chacun en fonction de ses capacités, à préserver, developper et renforcer la santé si ce n'est la longévité
Telle était d'ailleurs la thématique de cette édition particulière, qui présentait aussi le nouveau cocis (les lignes guide de la cardiologie du sport)
Une attention particulière est portée depuis le sars Covid, sur des morts subites de sportifs par exemple
À ce propos, Phidippidès est le premier athlète grec connu pour être mort durant un effort physique en 490 av. J.-C. 😉
Durant cette cession j'ai été agréablement surprise de l'ouverture de la médecine sportive sur l'épigénetique, le macrobiote, le neurofeedback et conserve a l'esprit le rôle préventif de l'activité sportive sur la santé physique et mentale
Cela paraît banal, et pourtant, habiter cette dimension du mouvement et du corps et une base essentielle
Cela est d'autant plus sincèrement proposé que je ne fais du sport régulièrement que depuis deux ans et demi seulement 😂
Comments