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Penser qu'une grande partie de ce que nous pensons soit juste, c'est oublier que le mental enferme et réduit nos possibilités de voir autrement


Il est bien différent de savoir des choses, que de les confronter à un certain "réel" ou de mettre en doute la façon dont nous les percevons


Décortiquer les sensations, la conscience, la psyché sont des exercices qui, personnellement, me fatiguent et pèsent d'emblée. Parce que je sais que le mental et la discussion qui va avec ne sont pas le lieu où cela se passe, où cela se produit


J'ai écouté il y a un moment l'interview d'un médecin, thérapeute qui parlait de l'importance du corps en thérapie et donnait un exemple d'une séance d'hypnose où il était question de replacer le patient dans son corps, dans sa présence. Une façon de l'inviter à ne pas rester dans le mental et la douleur qui prenait toute la place. Il faisait expérimenter un "contexte élargi" (Alain Roustang) : « Je vois, je sens que vous êtes beaucoup plus que le drame que vous avez vécu".


Ce qui m'interpelle ici n'est pas la technique choisie, c'est ce qui permet de favoriser la rencontre et la reconnaissance de l'être au-delà des faits qui lui sont arrivés, plus loin que l'analyse du mental, c'est un renvoi au ressenti, au cœur, au cœur du corps. Et cela ressemble tellement à la maïeusthésie


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